Depuis 2004, vingt des vingt deux régions métropolitaines sont gérées par des présidents socialistes. A quelques mois des élections régionales, l’heure du bilan est venue. Lors des précédentes éditions du Livre noir, nous avions observé avec les présidents des groupes UMP des conseils régionaux un certain nombre de caractéristiques de la gestion «socialiste» des régions.
Cette méthode se résume de la façon suivante : explosion des impôts, multiplication des dépenses de fonctionnement et de communication ainsi qu’un saupoudrage massif des subventions aux associations.Au fil des années, nous avons constaté qu’au-delà des dérives budgétaires et de la mauvaise gestion, un véritable programme d’instrumentalisation des exécutifs régionaux a été mis en place. Désormais la politique des régions se décide rue de Solférino avec pour unique ambition de s’ériger en contre-pouvoir à la politique gouvernementale.
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