Me voici de retour à Marseille.
Les derniers jours ont été un peu périlleux du fait des chutes de neige exceptionnelles dans les Bouches-du-Rhône.
Nous
n'avions pas connu pareille situation depuis 1987.
J'ai, tout d'abord, été bloqué à Paris mercredi soir. Les trains comme les avions, à destination de Marseille, ont été annulés. J'ai donc du passer une nuit supplémentaire dans notre capitale.
Mon arrivée à Marseille n'a pas été moins rocambolesque. Il m'a fallu m'armer de patience pour rejoindre mon domicile où le travail ne manquait pas pour déneiger mon jardin !
Notre ville a été comme paralysée pendant 48 heures ! Mais surtout, quel spectacle ! Il est si rare de voir Marseille en blanc !
La polémique va bon train quant à la gestion de cet aléa climatique par les autorités compétentes, autrement dit le Département et la Communauté urbaine.
En ce qui me concerne, je me contenterai d'évoquer la spécificité régionale. Alors que 20 centimètres de neige passent inaperçus dans le massif central, ils sont, ici, source d'une désorganisation certaine.
Les choses rentrent dans l'ordre, petit à petit. Les désagréments ont été nombreux pour certains. D'autres se sont réjouis de cette animation inhabituelle.