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Commentaires

jean

Cela relève surtout d'une profonde misère psychologique et d'un constat d'échec des structures mises en place pour soutenir les familles.
On parle souvent des allocations familiales (savoir si on doit les supprimer dans le cas d'enfants délinquants) mais la société ne se dédouane-t-elle pas en versant chaque mois une somme d'argent pour aider les familles à élever leurs enfants?
Des places de crèches supplémentaires n'aideraient-elle pas certaines femmes à mieux "supporter" leurs enfants?
Toutes ces questions qui n'excusent pas ces gestes abominables, nous devons nous les poser.

hermès

Pardon mais le problème n'est pas que le statut de la maternité dans la société (d'ailleurs c'est assez vague comme commentaire), mais surtout les facteurs sociologiques déclencheurs de ce type de psychoses ! Isolement, pauvreté, histoire familiale, antécédents médicaux etc…

A cela il faut ajouter que ce n'est pas une nouveauté. On fait comme si ça n'avait pas existé auparavant, c'est méconnaître l'histoire des faits divers et l'histoire de la psychiatrie.

Le problème de fond est que la maladie mentale est l'image inversée d'une autre maladie… celle qui touche la société. Qui sont les fous ?


Hermès

Marguerite

Arrêtons d'accuser la société de tous les maux, ces femmes sont des malades qu'il faut enfermer à perpétuité pour éviter toute récidive, et quand je dis perpétuité c'est une vrai perpétuité sans remise de peines.
ce n'est pas parce ce qu'on est pauvre que l'on doit assassiner son enfant. Si on n'en veut pas c'est pourtant pas compliquer et puis il reste l'avortement ou encore l'abandon, triste mais qui laisse une chance à l'enfant de trouver un foyer qui le chérira. Comment peut-on faire un acte aussi odieux ces femmes n'ont aucune excuse.

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