La candidature de Nicolas SARKOZY, c’est celle de la rupture, celle qui s’appuie sur le constat suivant : le monde change et, dans le même temps, nos performances économiques faiblissent, notre modèle social s’épuise… La France, prisonnière de ses conservatismes, a désormais peur du changement et peine à se réformer.
Seul Nicolas SARKOZY prône le mouvement contre l’immobilisme.
C’est le seul présidentiable qui souhaite une France plus forte, mais aussi plus juste : une France où la réussite soit enfin possible pour chaque famille qui le souhaite, une France où chacun puisse avoir la certitude d’avoir la juste récompense de ses efforts, de son mérite et de son travail.
Dans le projet présidentiel du candidat de l’UMP, tous les thèmes de sociétés sont abordés.
J’aimerais
en évoquer plus particulièrement 4 : le travail, le logement, la sécurité
et l’immigration.
Comment vous dites ? Une juste récompense des efforts. OK !! Mais qui évalue les efforts : des gens qualifiés ou les amis d'amis ou les fils de.. mis aux postes clefs des administrations, des entreprises, des ministères, des groupes politiques, etc. C'est pas vraiment d'être payé ou récompensé selon le mérite qui me pose problème. C'est putôt la "tétrachiée" d'incapables qui squattent les hautes sphères et qui freinent le travail au quotidien parce qu'ils ignorent ce qui est à faire. Propulsés et mis en orbite par telle ou telle autre corporation, par les anciens de l'école, les ténors du parti, qu'est-ce qui leur donne les compétences pour juger la qualité du service rendu. La plupart du temps, on les envisage en souriant. Oh lui, c'est un c. mais bon, il est soutenu par machin, alors.
Et là, il fait comment Monsieur SARKOZY ?? Il vient vérifier personnellement dans tous les services et dans toutes les entreprises la qualité du service rendu. Alons trêve de plaisanterie. Si le monde pouvait un jour avancer au mérite et être plus juste, cela se saurait.
Rédigé par : Suzanne | lundi 02 avril 2007 à 13:10
Pour mieux appréhender la réalité et les enjeux nationaux, rien ne vaut prendre un peu de hauteur, sortir des frontières de l’hexagone, ouvrir la fenêtre européenne...
Ainsi, Eurostat, l’organisme européen de la statistique, met en lumière de façon cinglante les mensonges et la propagande du gouvernement français sur l’emploi. Oui, le chômage a baissé en France pour atteindre 8,9 % en février, c’est 0,5 % de plus que les chiffres « made in France ». Le bilan de la politique gouvernementale apparaît beaucoup plus modeste dans la lumière européenne, voir même assez piètre au regard du dynamisme des autres membres de l’Union européenne.
Ainsi, si l’on regarde les statistiques de la délinquance, après une petite dizaine de lois sécuritaires et le développement d’une stratégie offensive des forces de l’ordre contre tous les présumés coupables, la France est peu ou prou dans la même tendance que ses voisins européens. Même si ceux-ci ont préféré la responsabilisation des citoyens plutôt que le flicage exubérant, ils obtiennent à peu près les mêmes résultats que nous.
Ainsi, plusieurs Commissaires européens, le Président de la Commission lui même, auront été obligés d’intervenir dans le débat électoral français pour demander à Royal et Sarkozy, un peu moins de mensonges et une sourdine à la démagogie, à propos de l’euro et la BCE.
…
Trois exemples ne font pas une règle générale, mais il est de bon ton de rappeler que l’Union Européenne, de par son indépendance, demeure une boussole vers le vrai.
Reste une question qui n’est pas abordée dans la campagne électorale : que va faire la France pour l’Europe en 2008, alors qu’elle prendra la présidence de l’UE pour un semestre ? Ce silence béant, sur la vision et le rôle de la France pour l’Europe, me paraît beaucoup plus inquiétant que les mensonges épinglés plus haut. Un enjeux absent de vos "4 ENJEUX DE LA PRESIDENTIELLE"
Salutations,
Héloïm Sinclair
Rédigé par : Héloïm Sinclair | samedi 07 avril 2007 à 11:11