J’ai terminé ma semaine à Marseille, entre réunions et rendez-vous avec les administrés.
J’ai aussi retrouvé le terrain, avec plaisir, à l’occasion d’une visite du quartier des Chartreux, dans le 4e arrondissement, ce matin. L’accueil des commerçants et des riverains a été chaleureux. Nous avons relevé les doléances des uns et donné des explications sur le partage des compétences entre la Ville de Marseille et la Communauté urbaine aux autres, dans une ambiance bon enfant.
J’ai poursuivi par une visite sénatoriale, à La Ciotat, cet
après-midi.
Ce soir, je me rendrai en Mairie centrale pour assister à la remise des palmes académiques de plusieurs élues de notre municipalité et, notamment, Marie-Louise LOTA, Adjointe au Maire de Marseille issue des 4e et 5e arrondissements.
Autrement, les élections
européennes approchent à toute vitesse.
Le
3 juin aura lieu le meeting départemental des Bouches-du-Rhône, au Parc Chanot
à Marseille, en présence de Jean-Claude GAUDIN et de notre tête de liste,
Françoise GROSSETETE.
Le 7 juin, les Français voteront pour désigner les députés qui les représenteront au Parlement européen.
Il nous faudra choisir
entre une Europe qui nous permettra de décider nous-même de notre avenir et une
impuissance collective qui nous condamnerait à subir les décisions des autres.
Il ne s’agira pas de choisir entre la France et l’Europe, mais de dire ce que
la France veut pour l’Europe et, par conséquent, ce qu’elle veut aussi pour
elle-même.
La crise financière, économique et écologique mondiale revêt une importance décisive.
Alors que tout change, l’Europe doit changer aussi. C’est le moment de transformer l’Europe pour qu’elle soit l’expression d’une volonté commune.
Le 7 juin, ce sera l’occasion de dire non à la démagogie et aux polémiques de tous les partis qui se trompent d’élections.
Comme le fait le PS, faire de la campagne européenne un vote anti-BARROS, c’est inaudible. Faire de la campagne européenne, un vote anti-Sarkozy, c’est absurde et, d’ailleurs, les Français ne suivent pas. Faire de la campagne européenne un débat sur les politiques nationales, c’est tant mieux : les socialistes n’ont rien à proposer. Les engagements pris ont conduit à des promesses tenues. La France change !
Le PS, ce sont des idéologies et de l’immobilisme. L’UMP, ce sont des idées et du pragmatisme !
Notre conviction : le monde change, l’Europe doit changer ; Notre ambition : construire une Europe qui agit et qui protège et construire une Europe modèle et exemplaire.
Nous voulons une Europe forte avec des règles et des frontières :
- Ratification du Traité de Lisbonne et définition des
frontières de l’Union.
- Interdiction des régularisations massives d’immigrés
clandestins et non à l’entrée de la Turquie.
Nous voulons une Europe qui maîtrise les marchés financiers :
- Fin des paradis fiscaux.
Nous voulons une Europe unie face aux défis de l’énergie :
- Création d’une centrale européenne d’achat de gaz.
Nous voulons une Europe culturelle :
- Instauration de la TVA à 5,5% sur les produits culturels.
Nous voulons une Europe verte :
- Instauration d’une TVA à 5,5% sur les véhicules
propres.
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