Le blog de Bruno Gilles

Alain JUPPE dédicacera son livre "France mon pays, lettres d'un voyageur" jeudi 15 février 2007 à Marseille

Cette dédicace aura lieu :
Jeudi 15 février 2007 de 15h00 à 17h00
Librairie La Touriale - 211, Bd de la Libération - 13004 Marseille.

En 1995, Alain Juppé est Premier ministre.
En 2005, il part se ressourcer au Québec.
Pendant cette année, sa passion pour la France ne l'a pas quitté.
Il en revient avec ce livre original et très personnel, écrit sous forme de lettres à ses enfants, petits-enfants, étudiants...
Avec des mots simples et vrais, fort d'une sérénité retrouvée, il y dit sa confiance dans le destin de la France, sa passion pour l'Europe, ses convictions en matière d'éducation, d'intégration, d'environnement à l'aube du XXIe siècle.

ENGAGEMENTS : La lettre semestrielle de la 5eme circonscription

Pour consulter la 7eme édition de la revue traitant de mon action législative et locale, cliquer sur le lien :

Téléchargement engagement_janvier_2007.pdf

Unedic – ANPE : même quand le monde change, difficile de les faire évoluer

La croissance et l’emploi sont deux objectifs majeurs pour notre mouvement. Aucune piste d’évolution vers la performance dans ce domaine ne peut être écartée.
En matière d’emploi ou plutôt de gestion du chômage, il y a très certainement des réformes parmi lesquelles on peut citer le projet de fusion de l’Unedic avec l’ANPE.
Ce thème n’est absolument pas une hérésie. Il faut savoir que la plupart des pays européens disposent d’une structure unique pour assurer l’indemnisation et le suivi des chômeurs.
Une concentration des deux structures permettrait, à mon sens, un redéploiement des missions et une optimisation des moyens.
Chacun s’accorde à dire que le suivi des personnes à la recherche d’un emploi doit être encore amélioré. Les Français eux-mêmes sont sceptiques quant aux possibilités de ces structures face au circuit du travail.
Le monde change très vite. La société évolue à une vitesse extraordinaire. Il faut savoir admettre que certaines choses ont besoin d’être adaptées, modernisées, optimisées.
Pourtant, je constate que, à peine évoqué, ce projet fait l’unanimité contre lui… De la part, bien sûr, des organisations syndicales et patronales.
Cette opposition sur le principe même me laisse perplexe. Peut-on dire « non » sans savoir dans le détail ce qui va être fait ? Que penser de partenaires qui refusent, d’entrée de jeu, d’écouter une idée que vous leur soumettez ?
Je crois surtout que les représentants de ces organisations sont des personnes qui ont déjà un poste ou une fonction et ne se mettent pas un instant à la place des chômeurs…. Ceci explique peut-être cela !