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Commentaires

georges

Bravo pour cette interview et pour cette initiative.
Un très bon livre sur la face cachée de Madame ROYAL....bien que cette face cachée est de plus en plus évidente pour les français.

georges

Formidable machine de campagne socialiste:
Alors qu'ils n'ont toujours pas estimé le cout de leur projet, voila les socialistes qui se permettent de chiffrer celui de Sarkozy.
Cherchez l'erreur!!!

LaMuche

Dans la même veine que l'expérience rapportée par Evelyne Pathouot, je vous livre ce superbe billet trouvé sur le net émanant d'un fin observateur de l'oiseau en question ... !

Marie-Ségo le toucha ...
et rien ne se passa

Sur le site du Figaro, la présidente des paralysés de France, Marie-Sophie Desaulle, commentant le geste de la Marie-Ségo qui s'est approchée de la personne en fauteuil qui versait quelques larmes dans le but de la réconforter, espère qu'il s'agissait là d'un "geste spontané".

Personnellement, je ne le crois pas. Tout était calculé. Vu son patronyme, Marie-Ségo se sent pousser des ailes et comme elle n'arrête pas de clamer haut et fort qu'elle est capable de tout faire pour rendre les Français heureux, il me semble qu'elle a tenté un coup de poker. "Une Royal, s'est-elle dit, pensant aux monarques de l'ancienne France, doit bien être capable de guérir un paralytique, non ?". Alors, elle s'approcha - se disant tout de même dans sa petite tête de cane que normalement les rois guérissaient surtout les écrouelles, mais qu'il n'y avait pas de raison qu'un malade atteint de la sclérose en plaques ne fasse pas l'affaire - et lui prit la main en prononçant à voix basse les paroles suivantes : "Marie-Ségo te touche, le socialisme te guérit".

Et qu'arriva-t-il ? Rien. Nada. Que dalle. Le paralytique ne se leva pas et Marie-Ségo retourna tout doucement vers le pupitre qui lui servait de trône. N'est pas thaumaturge qui veut. Marie-Ségo n'a pas de fait de miracle.

Le contraire eut été tout de même très étonnant


LaMuche


Dans le genre, ce billet n'est pas mal non plus .... :

J’ai regardé l'émission de Jean-Luc Delarue sur TF1

L'animateur JL Delarue étant l'objet de trois plaintes déposées par les personnels d'Air France à la suite de perturbations violentes de sa part sur un vol Paris-Johnnesbourg le 13 février 07 (il a fallu le menoter à son siège pour terminer le vol en paix), son émission a été animée par une remplaçante à veste blanche et sourire en harmonie. Ce que je n'ai pas bien compris c'est pourquoi l'émission d'habitude sur une chaîne publique avait été déplacée sur TF1, mais qu'importe, le contenu a bien été respecté, avec énormément de compassion pour chacun des cas déchirants présentés par les témoins, dont certains ont versé des larmes. A chaque fois l'animatrice disait combien elle comprenait le malheur des gens présents, et pouvait atténuer leur peine. Elle s'aidait pour cela d'une espèce de catalogue posé devant elle, dont elle connaissait le contenu par coeur, puisque pour chacun des cas qu'on lui présentait, elle tirait immédiatement de sa tête une solution prête à jaillir. Par exemple :

- La santé coûte cher, les jeunes ne s'en sortent pas.Solution en catalogue : la santé sera gratuite pour les jeunes.

- La vie est chère, on n'y arrive plus avec le panier de la ménagère. Solution en catalogue : je vais augmenter le SMIC à 1500 euros.

- Les retraites sont bien maigres, madame. Solution en catalogue : je vais revaloriser les retraites.

- Les cerveaux quittent la France. Solution en catalogue : j'augmenterai de 10% par an les efforts de Recherche. Je veux que les chercheurs restent en France.

- Ma fille est sourde, ce n'est pas facile. Solution en catalogue : je ferai de la question des personnes en situation de handicap une priorité.

- La mondialisation fait disparaître des entreprises en France. Solution en catalogue : L'état va aider les entreprises à conquérir les marchés.

Ce fut ainsi pendant deux heures. Des gens étaient venus demander une solution pour l'euthanasie, le cancer, l'emploi de seniors, des jeunes, de ceux entre deux âges (35-50,) les crêches pour garder les enfants pendant qu'on se rend à une entrevue pour un boulot. Tous eurent droit à la bonne réponse déjà écrite dans le gros catalogue posé devant l'animatrice sur le pupitre - elle n'employait pas le terme 'catalogue' mais 'pacte' : "c'est dans mon pacte". Ce fut une résussite, avec ce qu'il faut de larmes, d'implication personnelle de l'animatrice ('moi aussi j'ai eu un ami gravement malade'...) pour asseoir sa crédibilité (comment parler du cancer si l'on n'a pas eu un ami atteint du cancer ? C'est impossible à la télévision)

A mon avis Jean-Luc Delarue a du mourron à se faire : sa place est prise, il peut rester croupir dans les geoles sud-africaines.

Anna S.

Mme Royal se gargarise de ses résultats en tant que Présidente de la région POITOU CHARENTE, le livre noir des régions de Roger KAROUCHI repris en parti par valeurs actuelles nous donnent les résultats réels depuis l'arrivée massive des socialistes en 2004 ( il ne nous reste que 2 régions à droite ) ils n'y a pas de quoi se réjouir. Ainsi les résultats de la gauche sont accablants. Et les transferts de compétences vers les régions décidés en 2005 par l’État (qui les a largement compensés) n’y sont pour rien .
Juste pour illustrer prenons notre région :
Un milliard d’euros de dette.Impôts sur les ménages, les automobilistes et les entreprises cumulés, la pression fiscale s’est accrue de… 62 % depuis 2004. 200 millions d’euros par an ! C’est, après la région Languedoc-Roussillon, le record toute catégorie : + 59 % pour le foncier bâti, + 61 % sur les cartes grises, + 69 % pour la taxe professionnelle. Auxquels s’ajoute une hausse, elle aussi record, via la TIPP, de 119 millions d’euros supplémentaires prélevés, à compter de 2007, dans la poche des automobilistes. Une fois collectée, la totalité de ce pactole est principalement redistribuée au personnel pléthorique de la région (+ 15 millions d’euros en trois ans) et aux… 16 000 associations subventionnées (300 millions d’euros). Sans oublier les opérations de communication : 15 millions d’euros par an. Et l’alourdissement de la dette, passée de 720 millions en 1998 à… 1,1 milliard d’euros aujourd’hui !
Et ce n'est qu'un exemple.

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